La boussole du Bénin à partir de 2026
LA VISION DE DANIEL ÉDAH
Un Bénin économiquement prospère et socialement stable, dans une Afrique bien intégrée et en plein essor.
telle est la vision de Daniel ÉDAH, boussole de son engagement politique.
Le Bénin économiquement prospère
Un Bénin prospère, c’est un pays attractif pour les investisseurs nationaux et étrangers, un pays de transit prisé par nos voisins de l’hinterland, un hub de services de qualité, et un pays qui investit dans la production et la transformation de ses matières premières pour générer des emplois, répondre aux besoins nationaux, et stimuler les exportations. Il s’agit de renoncer à l’économie de consommation et de s’engager résolument dans la construction d’une économie de production et de transformation. L’économie de production et de transformation implique l’indispensable industrialisation du pays avec l’implantation d’unités de production, de transformation et de services dans toutes les communes et sur l’investissement conséquent dans l’économie du savoir et de l’information grâce aux multiples opportunités offertes par les technologies de l’information et de la communication.
Le Bénin socialement stable
Une concertation régulière entre anciens et nouveaux dirigeants, la culture de la continuité de l’État, une gouvernance inclusive pour tous y compris les béninois de l’étranger et la diaspora africaine, le développement d’un capital humain compatible avec les besoins de l’économie de production et de transformation, la promotion active des femmes et des jeunes à tous les niveaux de la gouvernance conformément à la pyramide des âges du pays, et la mise en œuvre de projets d’infrastructure qui assurent le développement harmonieux et équilibré de toutes les communes du Bénin, rapprochent les régions et consolident l’unité nationale.
L’Afrique bien intégrée et en plein essor
L’Afrique qui encourage la complémentarité des pays africains, qui mutualise ses ressources et ses compétences pour relever les défis de sécurité, d’énergie et de développement d’un nouveau capital humain en vue d’atteindre les objectifs de l’Agenda 2063 de l’Union Africaine et au-delà. Cela nécessite le renforcement des liens avec nos pays voisins en commençant par les limitrophes : Nigeria, Niger, Burkina Faso et Togo. Cela implique aussi la mobilisation pour une réforme en profondeur de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et la consolidation de l’Union Africaine, une coopération renouvelée avec nos partenaires traditionnels et l’indispensable ouverture au reste du monde.
